17 femmes ont été nommées au conseil d’éthique autours de l’intelligence artificielle. Même si ce comité d’étique n’a pas de fonction répressive. Il pourra définir un ensemble de bonnes pratiques et les adapter en fonction de l’évolution de la technologie. Les pays membres de l’Unesco pourront montrer leur volonté de suivre ces bonnes pratiques.
L’entrée de ces 17 femmes au conseil permettra une interprétation plus équilibrée des conséquences possibles de cette nouvelle technologie majoritairement développée par des hommes.